samedi 5 novembre 2011

Modelage: comment ne pas avoir à couper une sculpture pour l'évider.

Lorsque l'on a réalisé une sculpture en argile, il faut en suite la couper en morceaux afin de l'évider.
Avec cette méthode, il m'est arrivé d'en détruire lors du remontage (affaissement de la matière).
Ensuite cela prends beaucoup de temps.
Il existe aussi une méthode qui consiste de faire des près formes au papier journal et ensuite de monter la sculpture autour. Ne pouvant pas tout retirer car il se colle à l'argile et se déchire, lors de la cuisson le papier est détruit par la forte température.Si cette masse de papier est importante, cela met des particules de cendres dans le four, ce qui ne l'arrange pas.
J'ai trouvé pour réaliser mes personnages, une méthode simple mais efficace, qui permet de réaliser certaines parties évidées et de retirer assez facilement le bourrage.
J'utilise du plastique bulles d'emballage. Il est solide et avec les bulles on obtient rapidement du volume.
Méthode: Il faut découper une bande parallèle, qu'il faut réduire progressivement à mi longueur. Le but est que lorsque elle est enroulée sur elle même elle forme un cône. On peut en mettre plusieurs les unes sur des autres. Pour armer la sculpture j'enroule le plastique autour un fil de fer. 
Attention: les bulles doivent êtres tournées vers l'intérieur, afin qu'elles ne se collent pas à l'argile.
  
 Le cône réalisé, vous pouvez monter l'argile autour. Vous obtenez ainsi une masse creuse. Il est aussi aisé de la cintrer, afin de donner du mouvement.


A partir de là, vous pouvez réaliser entièrement la sculpture.
Suivant ce que vous faîtes, il peut, peut être y avoir d'autres parties avec des manchons en plastique.


Une fois la sculpture pratiquement terminée, (je ne mets pas de photos) Retirer le fil de fer. En ce qui concerne mes sculptures, je trépane mes personnages et vais creuser l’intérieur de leurs crânes pour les évider.

La dernière étape avant de refermer, est de  percer avec un foret pour le métal (on le fait tourner à la main), afin de rejoindre le plastique bulle. Ainsi j'ai la circulation d'air qui peut se faire entre la tête et le corps.

Après  avoir refermé la boîte crânienne et fini les détails de coiffe, il faut laisser sécher deux jours. Ainsi vous pourrez saisir la sculpture sans laisser de marques de doigts et sortir le plastique à bulles. Il faut parfois forcer un peu, mais le fait de l'avoir placé de forme conique facilite son extraction. Une fois vide la fin du séchage sera plus rapide. Placez la sculpture sur cales, pour que l'air puisse circuler à l’intérieur.

Il ne reste plus qu'à mettre au four et faire la finition.

mardi 5 juillet 2011


FÊTE de la SCULPTURE et du MARBRE


Cet évènement s'est déroulé les samedi 18 et Dimanche 19 Juin 2011 à Caunes Minervois dans l'Aude. J'exposait dans le rez de chaussé d'une maison ancienne et plein de charme avec Laurence Pecquet, sculptrice. Ses œuvres sont des personnages en plâtre qui font penser aux danseurs du ballet May B, de Maguy MARIN.
Sculptures de Laurence Pecquet



De nombreux évènements se sont déroulés durant ce week-end.
  • Vernissages des expositions dans le cloitre
  • 60 expositions dans les rues, caveaux et remises
  • 10 ateliers gratuits d’initiation
  • Visites guidées des carrières du Roi et des Terralbes (transport par petit train)
  • Spectacles et musiques de rues
  • Projections de films d’art
  • Ecrivains et librairies
  • Restauration par les producteurs du terroir
  • Inauguration du « Cœur du Monde » énorme sculpture réalisée dans du marbre de Caunes  
C'est un évènement ou l'on en prend plein les yeux. A ne pas manque l'année prochaine.

      mardi 19 avril 2011

      Les rencontres de la pierre à JUNAS

      Junas est un petit village Gardois, situé à 26 km de Nîmes et à 8 km de Sommières. Sa particularité est d'avoir des carrières d'époque gallo-romaine qui ont fait vivre le village jusque dans les années 50.
      A l’initiative de deux compagnons et de la municipalité, l’exploitation a repris en 1983 et perdure encore de nos jours sur la partie Nord.
      En 1987 sont crées les premières rencontre qui se passent dans les carrières au sud.
      Depuis ont lieu;
      -Un concours d'apprentis tailleurs de pierre, des jeunes viennent de tout horizon, même de l'étranger (Allemagne, Angleterre, Suède).
      -Les triplettes ou 3 ou 4 tailleurs de pierre réalisent une partie d'une œuvre collective. Plusieurs de ces réalisations sont implantées dans le village. 
      - Des stages sur la pierre sont organisés.
      -Divers métiers viennent montrer leur savoir faire, ferronniers, charpentiers, fondeurs.

      En 2003, les tailleurs de pierre et sculpteurs, de plus en plus enthousiastes, créent un projet fédérateur exprimant la richesse de leur métier. Ils rêvent et imaginent « Le kiosque de Junas ».
      Le « kiosque de Junas » est, de par sa forme, un défi technique. Il a nécessité une étude statique poussée faisant autant appel aux connaissances géométriques et empiriques traditionnelles des tailleurs de pierre qu’aux techniques les plus récentes du monde de l’ingénierie.
      8 mètres de diamètre, 5 arches de 4 mètres de portée, un oculus central de 2 mètres de diamètre, 170 pierres de diverses origines (Roquemaillère, Fontvieille, Lussan, Junas, Estaillade, Baux, Beaulieu, Castillon, Champdoré) pour une masse totale de 35 Tonnes. 

      Depuis 6 ans, une centaine de tailleurs de pierre y ont travaillé quelques jours par an. Certains sont même venus du milieu du pacifique et d'Afrique.

      Mi mars 2011, sa construction a commencée et s'est terminée le 15 avril. 

      Les retouches et les sculptures à continuer se sont faites pour les rencontres qui ont eu lieu le 1er, 2 et 3 Juillet 2011.

      En attendant, Samedi 16 avril nous avons fêté l'achèvement de sa construction. 

      Cela montre que la solidarité de personnes bénévoles peut mener à bien un projet de grande envergure. 

      Le week-end du 14 et 15 Avril 2012 Nous nous sommes retrouvé à deux sculpteurs et trois tailleurs de pierre pour continuer les sculptures qui n'étaient pas terminées. Nous devrions les terminer lors des rencontres du 6, 7 et 8 juillet 2012. 
      En même temps devra être posé le sol avec ses mosaïques.

      mardi 29 mars 2011

      Sculpture sur pierre

      C'est en 2009 que c'est passé un tournant important dans ma vie de sculpteur sur Bois.
      Une rencontre tout à fait fortuite va y contribuer. Par l'intermédiaire de deux personnes j'ai fait la connaissance d'Alexander Chitungo sculpteur de Zimbabwe, qui parcourt le monde (Afrique du sud, États-Unis, Allemagne,Pays-Bas)  pour donner des cours de sculpture sur pierre. Je lui ai offert la possibilité de donner des cours dans mon atelier. Donc les 15 premiers jours de Juillet les stages ont lieu.

      Alexander me propose gentiment d'essayer de tailler de la pierre, car je n'avais jamais tenter de travailler ce matériau. Me voila parti à tailler dans de la springstone, une pierre noire, de dureté moyenne, que l'on ne trouve qu'au Zimbabwe.
      Grâce à Alexander, ce fut une révélation.

      Comparaison avec le travail du Bois:
      Si l'on veut faire une comparaison avec le bois,  le travail de la pierre est plus physique. Surtout que depuis, je travaille sur de la pierre de Tavel, qui est bien plus dure que la springstone. Les outils sont obligatoirement renforcés avec des pastilles au carbure de tungstène, si non ils ne tiennent pas l'affutage et l'on arrive même  à écraser le métal.
      Par contre on n'a pas l'inconvénient de devoir tenir compte des sens du fil que l'on rencontre avec le bois. Avec la pierre lorsque l'on commence de suivre une trajectoire, on va jusqu'au bout. Avec le bois le sens du fil , oblige souvent à interrompre le mouvement pour changer le sens de l'outil.
      J'en ai conclu que la pierre permet d'être plus spontané et de laisser libre cours à son imagination. On se concentre sur la forme à donner sans avoir constamment à l'esprit de devoir tenir compte de la ma manière dont est constitué son  matériau.  
        Vous pouvez voir mon travail et avoir d'autres informations sur mon site.

      jeudi 24 mars 2011

      Exposition Internationnale

      L'association ART connexion organise chaque année une exposition internationale itinérante avec un thème donné. Pour l'année 2011 ils ont choisi un tableau de Giandomenico TIEPOLO intitulé "Il mondo Nuovo". Celui ci a été peint en 1791.


      ART connexion invite chaque artiste à se laisser interroger par la confrontation avec l'œuvre  proposée et de développer un point de vue personnel actuel, à la fois conceptuel et sensible. Au final, ni copie, ni répétition mais une mise en espace contemporaine qu'il s'agit d'articuler avec l'ensemble de son propre travail artistique. Le format de l'œuvre ne doit pas excéder 30cm x 30cm. ou en volume 30 x 30 x 30.
      Ayant trouvé l'idée intéressante je m'y suis inscrit.
      Irrespect collectif  2010

      Maintenant il restait plus qu'à trouver l'idée.


      Cette toile représente notre univers avec la terre telle que nous la voyons de nos jours. Une ressource inépuisable, qui a la capacité de se réapprovisionner sans limites. Le moindre fragment de notre surface vitale doit avoir une valeur d'échange ou doit être éliminé car représentant une entrave. C'est pour cela que j'ai représenté la terre comme une pièce de monnaie. Les deux personnages constitués d'une pyramide  et surmontés d'une pomme représentent l'être humain. Ce sont des personnages que l'on retrouve sur toutes mes toiles. Ils pompent allégrement les ressources. Je les ai placés dans la même position que les boutons d'un chronomètre car le temps est compté.
      Voici notre monde nouveau . Serait-ce de tout bafouer pour de l'argent. Les meilleures convictions, idées, envies peuvent elle être annihilées avec ce moyen?

      Voici un reportage télévisé sur l'exposition qui est de passage à Nîmes.
      Journal Camargue Cévennes du 01/03/2011 - TV Sud

      Cette expo est visible à la Galerie NegPos
      1 Cours Nemausus                             
      30 000 Nîmes                                                        Jusqu'au 29 Avril 2011
                                                        Ouverture du Mercredi au vendredi de 16h à 20 h

      mardi 22 mars 2011

      Etapes principales de la réalisation d'un de mes tableaux

      Je vais essayer d'expliquer la démarche de réflexion et de construction, que j'utilise pour réaliser une toile (peinture à l'huile).
      Croquis


      La plus part du temps, ce sont des évènements nationaux ou internationaux qui nourrissent mon inspiration.
      Suivant les circonstances, soit j'attaque directement sur la toile, soit je fait un croquis pour assoir mes idées. Cela va me permettre d'identifier les différents éléments qui vont permettre de structurer cet évènement. Il n'est là que pour donner une idée générale.
      Le plus souvent les éléments apparaissent au fur et à mesure de l'avancement du tableau sans étude préalable.



      Mise en place et proportions
      La première étape est la mise en place du fond, qui peut être un paysage ou un environnement plus surréaliste, suivant le discours, l'ambiance ou la sensation que je veux donner.
      C'est avec les vraies dimensions de la toile, que tout va se proportionner. Chaque élément trouve se place par rapport à des proportions calculées. Par exemple avec le nombre d'or, des diagonales, un objet qui doit répondre à un autre, etc.
      Les éléments majeurs sont ainsi mis en place.

      apports d'éléments en mise en volumes



      La suite consiste à rajouter d'autres objets ou fruits, prévus ou non, pour permettant d'avoir une lecture logique de l'évènement. Le respect des proportions sont toujours calculées.
      Les couches très fines et successives de peinture avec glacis, permettent d'obtenir progressivement les volumes des différents éléments.











      La sur dimension du livre, permet de donner la sensation qu'il peut éventuellement sortir du tableau.



      Un rajout supplémentaire des noix, permet de renforcer l'idée de l'évènement, de renforcer le lien entre le livre et les cerises,  mais surtout d'augmenter la brutalité du mouvement.
      Des rajouts de bleu dans le bas du ciel permettent d'amplifier une certaine tension.
      Le travail des ombres et les points de lumière renforcent les volumes, donnent les distances entres les différents éléments et permettent de mettre en valeur certains points par rapports à d'autres.
      Les paillettes d'or autour de la pomme, crées le point de déséquilibre, qui est fait pour attirer l'œil.




      Il faut savoir s'arrêter, car on peut ne jamais avoir fini. Trop insister peut finir par enlever l'énergie que peut dégager le tableau.    


      lundi 21 mars 2011

      La Sculpture sur Bois

      Ma formation d'ébéniste m'a permis d'apprendre au fil des ans la sculpture sur bois. D'abord comme sculpteur ornemaniste, je me suis orienté petit à petit vers la sculpture artistique.
      Je me suis intéressé au corps humain afin d'en connaître les proportions et équilibres. Le modelage permet de comprendre beaucoup de choses.
      Assez rapidement je n'ai plus éprouvé l'intérêt de faire de la sculpture académique, je me suis rapidement mis à étudier des personnages dans des situations particulières. Je me suis demandé comment raconter l'histoire d'une personne au travers d'une sculpture, mais aussi comment faire passer un message.
       
      L'exemple de la sculpture "Vitruve" ou l'homme et l'architecture.
      Vitruve
      photo de Jacques Charretton

      J'avais récupéré des branches de platane de bon diamètre et je me suis mis à sculpter un visage masculin dans l'une d'elles. Durant sa réalisation mon imagination m'a fait penser à un personnage d'époque Romaine. Ayant eu une formation en art appliqué, je me suis raccroché à l'architecture et ce qui en découle. Je me suis mis à me poser les questions suivantes:
      • Quelle est l'importance de l'architecture pour une civilisation?
      • Quel personnage important de cette époque aurait pu  marquer l'architecture?
      • Est il encore influant de nos jours?
      Mes pensées se sont dirigées de suite sur cet architecte du 2eme siècle après J.C du nom de Vitruve.
      A partir de toutes ses questions, je me suis mis à rechercher des réponses, afin de me permettre de faire parler cette sculpture au travers des différents éléments mis en place.


      samedi 19 mars 2011

      Comment caler les pierres pour sculpter

      Il est vrais que lorsque l'on veut sculpter des pierre de formes irrégulières, dites aussi patates, il est difficile de les caler afin quelles ne bougent pas.
      On peut utiliser des coins de bois, des boules de chiffons et bien d'autres choses!
      Mais au bout d'un moment tout a glissé et il faut recaler.
      C'est Alexander Chitungo, sculpteur du Zimbabwe, que je reçois dans mon atelier, qui m'a montré la solution qui me semble la meilleure.

      Pierre calée sur sacs de graviers.
      Ce sont des sacs remplis de graviers. Ce qui est bien c'est que l'on se les fabrique soi même et que ça ne coûte pratiquement rien.

      Voici quelques conseils pour réaliser ces sacs :
      -L'idéal est de découper dans de vieux jeans les jambes du pantalon. Vous avez directement deux tubes prêts à être remplis. Je ne prends que du jeans car c'est un tissus très résistant.
      -Fermez un des côté avec de la ficelle de chanvre qui est solide.
      -Remplissez la poche avec du gravier rond. Pas de gravier anguleux car on fini par trouer le tissus. Le gravier ne doit pas être tassé, mais rester mobile une fois le sac fermé.
      Ne pas utiliser de sable car il se tasse et fait un mauvais calage de la pierre.

      L'avantage est que l'on en fabrique des longs, des courts et à des diamètres différents.
      Plusieurs sac les uns sur les autres permettent aussi d'orienter la sculpture pour bien la voir et faciliter le mouvement du sculpteur.
      Que du Bonheur!

      vendredi 18 mars 2011

      Festival de la Biographie 2010

      Chaque année je vais au salon de la Biographie à Nîmes qui se déroule en général fin Janvier. L'année dernière j'ai rencontré Sophie Chauveau écrivain, auteur de romans, d'essais, de pièces de théâtre et surtout d'une monographie sur l'art.  C'est de cela dont je veux vous parler.

      Sophie Chauveau m'a présentée une trilogie sur des peintres Florentin du XVeme siècle.
      Le premier ouvrage retrace la vie de Filippo Lippi. Elle m'a expliqué s'être documentée durant quatre ans, être allée dans les archives dont celles de Florence, être allée sur les lieux ou l'on peut admirer les œuvre de Lippi, afin de remonter le parcours de ce peintre pas ordinaire. Pour rendre plus attrayant la lecture, elle l'a écrit sous la forme d'un roman, mais tous les faits marquants ont été strictement respectés. Une fois terminé, Sophie Chauveau s'est dit qu'elle me pouvait pas en rester là. Ayant en même temps étudié les peintres qui avaient fréquentés Lippi de plus ou moins prêt, deux d'entre eux lui semblaient primordiaux. Sandro Filipepi dit "Botticelli" et Léonard de Vinci.

      Voici un bref résumé de chaque livre, pour essayer de vous mettre l'eau à la bouche.      

      Florence 1414. Un enfant hirsute, vivant dans la rue, griffonne une fresque remarquable à même le sol d'une ruelle de la ville. Cosme de Médicis banquier et notable va le repérer et le placer au couvent afin qu'il apprenne la technique de la peinture, à lire, à écrire,à chanter et à composer un prêche.
      Moine et libertin, détournant  les règles, intransigeant dans son art,  futur maître de Botticelli, ses sublimes madones bouleversent son époque.
      Sa source d'inspiration provient des filles des maisons de plaisir de Florence, qu'il fréquente depuis son plus jeune age.
      Bravant tous les interdits, jusqu'à l'autorité du Pape, il va commettre une ultime provocation qui va l'obliger à s'exiler.
      Fra Filippo Lippi, peintre voyou, meurtri à jamais par une culpabilité enfouie, va inventer un nouveau rapport entre l'art et l'argent. Il est le premier à faire passer les peintres du statut d'artisans estimés au statut d'artistes reconnus.


      C'est la suite du premier livre. Cinq ans après la mort de Filippo Lippi, dans la Florence tumultueuse de Laurent le Médicis dit le "Magnifique", Sandro Botticelli dirige l'atelier avant de créer le sien. Filippino Lippi fils de Filippo devient son élève. Au milieu des mouvances politiques, et des épidémies, nous allons vivre l'ascension Picturale de Botticelli  qui va mener à son apogée la peinture de la Renaissance. Il entretien avec Léonard de Vinci une relation faite de rivalité farouche et d'amitié profonde. Nous allons aussi suivre tout au long du livre la vie de Filippino Lippi.  
      Botticelli d'abord adulé, est ensuite oublié de tous.

      Sophie Chauveau va entremêler la vie politique  au travers des Médicis, l'évolution de la vie de Botticelli dans la peinture ainsi que sa vie sentimentale.   



      Qui est vraiment Léonard de Vinci?
      On connaît l'inventeur virtuose, le scientifique précurseur... mais qu'en est il de l'homme, des ressorts de sa créativité? Des bas fonds de Florence à la forteresse de Ludovic le More, des campagnes guerrières de Borgia à la cours de François Ier, Léonard veut tout connaître, tout essayer, tout explorer.
      Sa ville, Florence, le boude. Rome le rejette. Venise se méfie de lui... Pourquoi?
      Quelles relations eut-il avec ses pères, Michel Ange et Botticelli?





      Voici trois livres qui m'ont appris des choses nouvelles sur ces artistes.
      Vous pouvez les trouver chez les éditions Folio sous les références:
      4880 pour Vinci, 4509 pour Botticelli et 4354 pour Lippi